Le leadership peut être mesuré, du moins en partie, par son effet sur celles et ceux qui sont dirigé. Le leadership affecte les gens, pour le meilleur ou pour le pire. Ceux qui sont intéressés à véritablement embrasser une philosophie de leadership au service des autres ont certains indicateurs qu’ils pourront suivre. Par exemple …
Avons-nous dynamiser les autres ? Ou les avons nous démoralisé ? Encourageons-nous la santé émotionnelle ? Ou est-ce que notre leadership – intentionnellement ou non – prend le dessus sur les émotions des autres ?
Permettons nous aux autres de devenir réellement eux-mêmes ? Ou se sentent-ils obligés de devenir ce que nous voulons qu’ils soient ?
Est-ce que nous coéquipiers deviennent de plus en plus autonome ? Ou sont-ils opprimés par notre incapacité à lâcher prise ?
Se sentent-ils écouté et apprécié en tant que professionnels et humains ? Ou semblent-ils préoccupés par la façon dont ils exécutent leurs tâches ?
Se sentent-ils pleinement à leur place ? Ou se sentent-ils comme des pions dans nos jeux de « pouvoir politique » ?
Nous devons nous demander comment notre leadership affecte ceux que nous dirigeons. Est-ce que nous les encourageons à devenir de plus en plus humain ? Est-ce que nous les aidons à grandir ? A devenir eux-mêmes? Sommes-nous vraiment utile à leur développement ?